Débat public sur la politique de transports dans la vallée du Rhône et l'arc languedocien (VRAL)

Préparation du débat

Déroulement du débat public

Contributions du GIR à la préparation et au déroulement du débat  

Contributions du GIR à la préparation

et au déroulement du débat

 

Page mise à jour le 4 mars 2007

 

[25.07.2006]

Repenser le territoire ...et le gouverner

Argumentaire de l'intervention invitée du GIR Maralpin dans le cadre de la réunion territoriale du 12 juillet 2006 à Nice

 assorti de commentaires sur un débat ne répondant pas aux attentes

 

Accédant tardivement aux demandes pressantes d'ouvrir le débat à la branche provençale de l'arc méditerranéen, la Commission particulière du débat public (CPDP) s'est résignée à y sacrifier très partiellement, le 12 juillet à Nice, dans le cadre d'une réunion territoriale supplémentaire improvisée où, hormis la présentation des enjeux locaux par la Direction départementale de l'Équipement (DDE 06), les deux seules interventions invitées furent celles de M. Louis Nègre, Président de l'Agence des déplacements et de l'aménagement des Alpes-Maritimes (ADAAM) et Vice-président de la Communauté d'agglomération Nice Côte d'Azur (CANCA), et celle du GIR Maralpin.

Répondant à l'invitation de la CPDP, Jacques Molinari, secrétaire scientifique du GIR Maralpin, a brièvement introduit dans le cadre imparti, en s'appuyant sur un diaporama, l'argumentaire du GIR Maralpin plaidant en faveur d'une remise en cause radicale, non seulement de la démarche du débat VRAL [exprimée par le GIR dès avant son ouverture (cf. DpVralRConcertAvignon24.02.06CommentGir602 ), puis lors de l'Audition publique de Montpellier (cf. DpVralMontpellierGir605s )], mais de la manière de repenser le territoire et de le gouverner .

 

L'intervention, dont on trouvera la version rédigé et le support images, est articulée en sept points sous forme d'interrogations, de constats et/ou de recommandations :

[1] Retour sur l'implication du GIR dans le débat VRAL ; [2] Était-il concevable de se désintéresser de la branche Est de l'arc méditerranéen ? ; [3] Se dégager d'un cadre étriqué imparti par les maîtres d'ouvrage ; [4] N'y a-t-il pas matière à réflexion sur l'ensemble du secteur maralpin ? ; [5] S'interroger sur le devenir des territoires ; [6] Une carence flagrante de gouvernance ; [7] A la recherche d'une gouvernance à la mesure des enjeux territoriaux.

Cet argumentaire est complété par une annexe intitulée :

Des débats publics qui se méconnaissent et s'ignorent - Une grande déperdition d'énergie, de moyens et de connaissances

portant un regard rétrospectif sur les débats publics précédents et invoquant les synergies qu'une meilleure conduite du VRAL eut pu en dégager.

 

Diaporama 12 planches ; 2,1 Mo [DpVralNiceCommentDebat607]

[28.05.2006]

Le point de vue du GIR Maralpin

Recadrer le débat et changer de démarche

[Communication du GIR Maralpin dans le cadre de l'Audition publique - Montpellier, 22 mai 2006]

 

Répondant à l'invitation de la CPDP, Jacques Molinari, secrétaire scientifique du GIR Maralpin, a présenté le 22 mai à Montpellier, dans le cadre d'une audition publique où s'étaient préalablement exprimés les représentants du Conseil économique et social régional Languedoc-Roussillon, de la CRCI-LR, de la CCI de Montpellier, du Centre logistique Barcelone-Calatalogne, du Comité de liaison des associations pour l'environnement du Languedoc-Roussillon, et de France Nature Environnement, le point de vue du GIR Maralpin, en réitérant d'emblée ses regrets qu'il n'ait pas été tenu compte, tant dans l'organisation que dans le déroulement du débat, des souhaits exprimés par les principaux acteurs lors des consultations préalables [cf. notamment DpVralRConcertAvignon24.02.06CommentGir602].

 

Le GIR Maralpin considère encore possible un recadrage du débat articulé à partir des objectifs suivants :

1. Élargir le périmètre du débat à l'ensemble de l 'arc méditerranéen en raison à la fois de l'intrication des trafics terrestres de ses 3 branches rhodanienne, languedocienne et provençale, et de la nécessaire mutualisation des trois grandes aires portuaires de Barcelone, Marseille et Gênes

2. Accorder la primauté à l'aménagement du territoire sur un espace dont la fragilité a été soulignée par le Plan Bleu et la cohérence révélée par l'Observatoire de la métropolisation

3. Changer de démarche méthodologique en substituant l'analyse rétrospective au suivisme tendanciel (scénarios prospectifs) en se référant aux objectifs incontournables que sont les protocoles de Kyoto, le "facteur 4 ", "l'après-pétrole" et surtout la consommation irréversible de l'espace.

4. Tirer les enseignements de débats publics récents [Port de Nice, LGV-Paca, Contournement (auto)routier de Nice] tous recadrés avec succès sur une problématique d'aménagement du territoire

5. Promouvoir un changement de politique fondé sur un retour souhaitable de l'État que pourrait laisser pressentir la récente annonce de création d'un Observatoire interrégional PACA & LR des territoires et de la métropolisation.

 

Diaporama 20 planches ; 4,9 Mo [DpVralMontpellierGir605s]

 

Un débat qui s'annonce sous de mauvais auspices :

L'aménagement du territoire et l'Arc méditerranéen escamotés

[Commentaires du GIR Maralpin à l'issue de la première réunion de concertation - Avignon, 24 février 2006]

 

La réunion du 24 février avait été annoncée par la CPDP comme réunion de concertation sur le bilan du questionnaire adressé aux acteurs de 3 régions sur les principales attentes du public et sur les thèmes à aborder [cf. DpVralCpdpLettreQuestionnaire601]. Dans la présentation qui en a été faite par le président Marzolf, il n'a pas été tenu grand cas des nombreuses propositions recueillies, notamment lors des réunions de consultation des principaux acteurs de la région Paca et des autres régions impliquées (Rhône-Alpes et Languedoc-Roussillon) [cf. DpVralRPrepDossierSupport511], et pas du tout du désir de tous de traiter prioritairement d'aménagement du territoire et, pour tous ceux de Paca, de ne pas restreindre l'arc méditerranéen à sa seule branche languedocienne, décision que la CPDP justifie par la demande de l' État maître d'ouvrage.

La présente note, qui se réfère également à des débats publics récents ou en cours, interpelle sur l'indépendance de la CNDP et des CPDP vis-à-vis des maîtres d'ouvrage et de l'État et appelle l'attention sur l'étape suivante de la préparation du débat (6 mars 2006 à Avignon)

[DpVralRConcertAvignon24.02.06CommentGir602]

 

Réponses du GIR Maralpin au questionnaire CPDP et propositions

 

La Commission particulière du débat public (CPDP) sur la politique des transports dans la vallée du Rhône et l'arc languedocien (VRAL) présidée par Monsieur Philippe Marzolf a sollicité le 14 décembre 2005 l'avis d'un certain nombre d'acteurs sur l'organisation du débat en leur demandant de lui retourner un formulaire avec des propositions avant le 15 janvier 2006.

C'est beaucoup plus tardivement que le GIR Maralpin a été à son tour sollicité par un courrier analogue du Président Philippe Marzolf. Ce courrier, en date du 13 janvier 2006, était accompagné d'une note d'information [cf. DpVralCpdpNoteInfo601] et du même formulaire [cf. DpVralCpdpLettreQuestionnaire601 ] que l'on trouvera reproduit et dûment complété ci-après sous la forme de Questions (Q) et Réponses (R) où il a été adressé le 8 février 2006 à la CPDP.

 

[DpVralReponsesGirQuestionnaireCpdp602]